La Corse et le GR 20 2017
Après avoir dû arrêter la traversée de la Corse du Nord au Sud, le bien connue GR20, suite au problème du dos, parce que je ne peux pas laisser tomber de tels projets, j’ai recommencer mais du Sud au Nord cette fois ci.
Avec le copain du Montpellier, celui qui en effet m’avait mis dans la tête le GR20, on a mis au point une date du départ et on as presque organisé le trajet.
L’idée c’était de finir le GR20 dans une semaine et pour cela on a prévu doubler voire tripler même les étapes traditionnelles.
On est tombé d’accord en ce qui concerne le paquetage façon ne pas se charger avec du matériel en double.
Point de rencontre, Figari, l’aéroport international en sud de la Corse, moi, arrivant du Zürich, lui de Montpellier.
Tout s’est déroulé comme prévue et on a pris un taxi pour aller à Porto-Vecchio d’où une navette était prévue pour que nous ramène au Conca, le départ du GR20 en partant du sud.
La première nuit sur l’ile de Beauté, on l’as passé au gîte « La Tonnelle » dans une atmosphère très accueillante, ou on a très bien mangé (picoler aussi) et se reposé.
Le lendemain, de bonne heure mais pas trop quand même on est partis, direction le refuge Paliri.
Une fois arrivé, si tôt direction l’étape suivante avec pour but le refuge d’Asinau ou on est arrivé la nuit tombée.
Un accueil très chaleureux bien que arrives un peu tard. Plus de place dans le refuge mais il y a eu quand même des places dans la « salle à manger » à l’abris sous une tente.
C’était notable les pates cuisinées par le papi, tout simplement une énorme assiette qu’il fallait vider au risque de fâcher le cuisinier.
Et c’était super bon. On c’est bien marrer avec les gens de passage puis on n’a pas dû déballer notre tente et de plus des matelas mises à notre disposition … un régal.
Le lendemain, après le petit déjeuner direction le refuge d’Usciolu une étape soit disent longue mais c’était vrais à cause des conditions météo assez rudes.
Mise à part la pluie, pas très agréable pour une randonnée, il soufflé un vent qu’on avait du mal garder les pieds sur terre.
On à croisée des gens sur le chemin, qui voulait aller vers Asinau et qui n’ont mis au courant que pour la suite c’était pas beau… mais il faut aller.
Une fois le refuge d’Usciolu passé, direction le refuge Prati, bien que loin vue l’heure d’arrivé sur Usciolu.
Le bonheur, sur le chemin, on trouve un refuge non gardé, plutôt un abri mais magnifique.
A suivre…
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