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Avoir raison n'est pas toujours suffisant pour revendiquer ses droits!

La police de Domdidier

Avisées par le CEA le vendredi 16 décembre 2016, à 6 :27 heures les gendarmes de la Police mobile Domdidier se sont déplacé sur le lieu d’accident indique, la bretelle de sortie d’Avenches.

J’ai bien dit à l’opératrice de 112, au téléphone, que je roulais en direction Berne – Genève et qu’un camion m’as tapé a trois reprises puis que les véhicules sont à l’arrêt devant un panneau « Sortie » sur la bretelle de sortie. Malgré mes informations assez ambiguës, sur l’écran de mon GPS, l’emplacement de « l’accident » a bien été indiqué même pendant la conversation téléphonique.

Un vrais professionnel, le gendarme SS, si non quoi dire… mise à part que dans son rapport du 25.01.2017, « Accident avec dégâts matériels », il indique avec précision le lieu d’accident à la hauteur du km 129.000. Dingue, il a même trouvé des débris provenant du véhicule lourd.

Dans le même rapport, je cite :
« A notre arrivée, nous avons constaté qu'un véhicule articulé lourd ainsi qu'une voiture étaient stationnés sur la BAU à la hauteur du km 128.950. »

C’est-à-dire que qu’il nous a pas trouvé sur la bretelle de sortie Avenches mais à plus de 200 m avant du lieu que j’avais indiqué au 112. Cerise sur le gâteau, juste devant le grand panneau qui indique la sortie 28, Avenches. Détail que je n’ai pas pu donner à l’opératrice du 122.

C’est débile mais même le chauffeur du camion, M Lüönd Anton ne l’as pas mentionné dans sa déclaration. Pire, dans sa déclaration, M Lüönd Anton indique « une collision » a des centaines de mètres du lieu définit avec précision par le gendarme SS dans son rapport.

Autrement dit, malgré deux déclarations données par les personnes impliques dans les faits du 16.12.2016, le gendarme SS signe sa version dans le rapport du 25.01.2017.

Question à la con … ou sont les traces de freinage du camion et de mon véhicule ?

On arrête 24 tonnes (poids du camion) qui roule à 87 Km/h sans laisser aucune trace suite à un freinage intempestif ?

Mais franchement, il y a des adultes avec discernement qui peuvent justifier des telles « affirmations » ?

Là encore il faut réfléchir, si possible …

D’après le SGT RG du Groupe OTR / SDR concernant l’évènement n° 16-58715 il y a eu un freinage intempestif d’une durée de … une minute ! Je vais revenir sur le sujet dans la page que je dédie à son rapport Analyse Accident de la circulation du 03.01.2017.

D’ailleurs, le gendarme SS peut être trouvé ailleurs mais pas à la Police Mobile de Domdidier et cela au moins depuis début 2018… ça ne me concerne pas !

Je me suis croisée avec le gendarme SS dans le bureau du Préfet de la Broye-Vully M Olivier Piccard le 13.04.2017 à 14h00, quand il a été convoqué aussi pour défendre son rapport, rapport qui sans doute a été décisif pour l’ordonnance pénale me concernant.

D’après le gendarme SS, je me suis rendu coupable d’avoir enfreint les Art. 37/1 Art. 37/1 LCR; 90/1 LCR Art. 90/1 LCR et l’Art. 12/2 OCR.Art 12/2 OCR

Il faut lire dans le contexte, pour se marrer… Une logique … assez impénétrable pour moi.

Peu importe, M le Préfet Olivier Piccard, a approuvé ce rapport et après notre convocation dans son bureau, a maintenu son ordonnance pénale malgré l’Art 7 du CPP (RS 312.0).Art. 7 CPP RS312.0

J’ai été naïf mais cela ne vaut pas dire que je vais laisser couler, loin de ça !

Si pour la Police et pour les responsables de chez Galliker, l’histoire du M Anton Lüönd tient la route malgré ça pénibilité, de mon côté je vais faire de mon mieux pour que des choses pareils ne soient plus possible se produire.

Je ne parle pas des faits comme celle du 16.12.2016 mais de la suite donne par les autorités avec certaines compétences et qui doivent en théorie appliquer les lois, quel que soit la nationalité, rase, religion ou appartenance politique des personnes en cause.

On ne vit plus au moyen âge et faire connaître des tels faits, permettra peut-être réduire le nombre de ceux qui pense être à l’abri des lois.

Bien entendu, il va falloir que je passe de nouveau devant le juge mais ce n’est pas grave même si je dois aller devant CEDH.

Combien seront ceux qui vont ajouter à leur expérience professionnelle, la défense du M Anton Lüönd ou plutôt à ses faits, autrement dit, utiliser un camion pour détruire un autre véhicule (en mouvement donc au moins une personne à l’intérieur) ?