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Avoir raison n'est pas toujours suffisant pour revendiquer ses droits!

Par courrier du 02.05.2017, de la part du M le Préfet Olivier Piccard j’ai appris que, je cite :
« Donnant suite à votre audition du 13.04.2017 et après l'administration des preuves nécessaires au jugement de l'opposition, j'ai décidé de maintenir mon ordonnance pénale du 09.02.2017. »

Comme, façon parlé, je n’avais rien de mieux à faire, j’ai fait opposition (Art 355 CPP)Art. 355 CPP RS 312.0 et le dossier a été envoyé au Ministère Public Central le 19.05.2019 par M le Préfet Olivier Piccard.

En effet si l’accident du 16.12.2016 n’a pas eu d’incidence sur ma santé, apprendre que je vais comparaître devant un tribunal (pour me défendre) a était un vrais choque qui m’as fait perdre plus de 40% de la vue centrale de mon œil gauche.

Je me suis fait suivre par les médecins ophtalmologues spécialistes de l’Hôpital Universitaire Zurich qui n’ont pas une explication médicale pour ce qui m’est arrivé de manière si fulgurante.

Je ne suis pas un spécialiste mais à mon avis, si mon point faible n’était pas l’œil gauche, j’aurais pu avoir la chance d’un AVC, pour le réconfort de certaines personnes.

Malheureusement pour certaines personnes (toujours les mêmes) j’ai récupéré assez bien sans prendre des médicaments et sans des explications de la part des médecins.

C’est connu, l’opposition a l’ordonnance pénale du 09.02.2017 c’est arrêté le 04.09.2017 au Tribunal d’arrondissement de la Broye et du Nord Vaudois.

Par la suite, j’ai été rembourse le 14.11.2017, du montant de 450 CHF que j’avais payé le 14.02.2017 pour l’ordonnance pénale émise par
M le Préfet Olivier Piccard le 09.02.2017.

Enrichie par cette expérience juridique, j’avoue avoir été bluffé pat l’intransigeance du Tribunal en Suisse dont j’avais lu des articles sur Internet sans pas trop penser que cela peut être vrais.

En tout cas, depuis que j’ai reçu la maudite Ordonnance Pénale, je n’arrête pas y penser au faits du 16.12.2016 quand ma famille aurais dû commémorer mon décès si mes reflexes n’auront pas agir de manière contraire au souhait de certains personnes.

Que je ne suis pas parfait, je le sais, mais je fais de mon mieux et j’ai l’habitude d’aller jusqu’au bout, a tout prix donc à ce jour, pour M Anton Lüönd ce n’est pas finit (et pas que pour lui…).